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De l’intérêt de régler sa cotisation en début d’année

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De l’intérêt de régler sa cotisation en début d’année

Il est des bonnes traditions comme il en est qu’il faut savoir abandonner. Le règlement de sa cotisation à l’année échue en fait clairement partie. Démonstration !

Chaque mois de janvier, le Club vous adresse son appel à cotisation pour l’année à venir. 

Qu’on se le dise, c’est chaque année un véritable casse-tête pour notre assistante de direction et notre trésorière de devoir jongler avec d’une part, les paiements sur l’année N+1 pour l’année écoulée, et les relances d’autre part pour les paiements de l’année en cours. 

Pourquoi ? Eh bien par rapport à la sincérité de la présentation de son budget, ce décalage présente un écueil problématique, qui ne permet pas de rendre une photographie claire de la santé budgétaire du Club sur l’année civile : en effet on est loin de la superposition parfaite entre la réalité de l’offre (je suis adhérent du club et bénéficie à ce titre des avantages que me dispense ce statut) et la réalité du statut (en réalité je ne suis pas à jour de ma cotisation). Et qui dit budget prévisionnel dit stress quand nos prévisions demeurent au stade d’objectif passée la deadline !

Malgré cette situation incommodante, votre Club préféré a la délicatesse d’octroyer une marge jusqu’au 15 mars pour le confort et la sérénité de votre propre trésorerie. C’est dire à quel point il vous bichonne ! Et pourtant, les relances vont courir un marathon absolu jusqu’au sixième mois de l’année !… Créant la confusion dans l’esprit de tous (car à m’an donné, difficile de se rappeler si j’ai réglé ma cotisation pour l’année présente ou pour l’année N-1).

Petit florilège (pour rire) d’une expérience vécue que l’on ne souhaite pas forcément revivre en 2024.

Traditionnellement, on rencontre trois cas de figures.

 

1er cas de figure : « Le clubbeur empathique » (probabilité : 10% de chances)

Adepte de l’anticipation, il profite des fonds de tiroirs du budget de fin d’année de sa structure ou de son porte-monnaie personnel pour démarrer l’année sur des bases neuves. Il va même jusqu’à devancer l’appel de fonds du club !

2e cas de figure : « Le clubbeur légaliste » (probabilité : 55%)

Soucieux d’être en règle vis-à-vis de son association de cœur dont il sait les tracasseries financières, et parce qu’il ne souffrirait pas de passer à côté de la deadline, il n’hésite pas à cliquer à réception de l’appel à cotisation sur les liens pour accéder au paiement en ligne, choisissant en quelques clics la formule adaptée à son cas : cotisation à titre individuel / à titre professionnel / renseignement du nombre de salariés de sa société ou collectivité le cas échéant / paiement par virement ou mandat / édition d’un devis et, à échéance du paiement, du justificatif de facturation. 

3ème cas de figure : « Le clubbeur indécis » (probabilité 35%)

Adepte de la réflexion, il note mentalement la date butoir : 15 mars, ouf ! Il a le temps de se retourner, d’autant que le traitement en comptabilité peut prendre du temps… Le temps aussi de s’interroger sur l’intérêt de renouveler son adhésion. Il est vrai qu’il compte bien s’inscrire à la soirée des vœux du club, mais quant à s’engager sur l’année ? A force de douter, il se demande s’il a vraiment reçu ce mail… Par chance, le Club ne manquera pas de le relancer.

 

Heureusement, à la faveur du nouveau site internet du club, qui a encore amélioré le process, ce troisième cas de figure ne sera bientôt plus qu’un mauvais souvenir… Du moins on y croit de tout cœur, et on compte sur vous !

 

 


Article rédigé par Mélanie Carpentier, Relations Publiques et Presse, Ville de Tournefeuille.

Membre du Comité Editorial du Club de la Com.

Photo August Rivenc, DRD2 Vision.

 

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