On retrouve aujourd’hui une ancienne membre de l’équipe qui était alors étudiante issue de l’ISEG, Lola Pouch, dont les membres actifs de l’époque (pas si lointaine mais depuis ,de l’eau a coulé sous les ponts, et pour elle en particulier !) se rappellent la présence précieuse, la personnalité lumineuse et posée… Qu’est-elle devenue après cette immersion dans l’activité du Club vécue de l’intérieur ?
Lola, quel est ton parcours, et ton actualité aujourd’hui ?
J’ai fait mes études à l’ISEG Toulouse (coucou Laurent), où j’ai été diplômée en 2021. C’est d’ailleurs lors de ma dernière année d’études que j’ai effectué un stage au sein du Club de la Com.
Après mon diplôme, j’ai fait un court passage à la préfecture du Tarn-et-Garonne (coucou Fatimée), puis j’ai intégré le Groupe La Poste (coucou Florence…) pendant plus d’un an. En quête de nouvelles aventures toujours institutionnelles, je suis aujourd’hui chargée de communication institutionnelle et attachée de presse à l’université Toulouse III – Paul Sabatier.
Peux-tu résumer ton expérience au sein de l’équipe permanente du Club de la Com ?
C’est un plaisir pour moi de me replonger dans ces souvenirs après trois ans !
D’abord, j’ai un très beau souvenir de mon accueil et de mon encadrement. L’équipe en place à ce moment-là (Nathalie Mathonnière puis Fifa à la coordination, Nathalie Raynal et Paul Monnier puis Frédéric à la présidence) a été très accueillante et a toujours fait preuve d’une bienveillance exemplaire.
Le Club de la Com est un environnement privilégié pour évoluer en tant qu’étudiante, j’ai pu y rencontrer des profils très variés et travailler sur des projets tout aussi différents. Les Trophées de la Com en version digitale, les multiples événements, la communication digitale, les 40 ans du Club…
Je garde une forte marque de l’admiration que j’ai pu ressentir pour tous les bénévoles, leur engagement, et leurs talents de communicants.
Que conseillerais-tu aux jeunes communicants qui ont tant de mal à faire leur place dans la communication et le marketing malgré tout leur talent et leurs diplômes ?
Soyez curieux, et saisissez les opportunités ! Selon mon expérience personnelle, certaines sphères qui nous paraissent inaccessibles sont en réalité à notre portée. Je me suis longtemps imposé des barrières qui n’avaient pas lieu d’être, simplement parce que je n’étais pas aussi extravertie ou visible que certaines et certains de mes camarades. J’ai compris par la suite que je suis fière de ma personnalité, douce et sympathique, et j’ai su aujourd’hui intégrer un environnement professionnel qui me correspond.
Donc pour résumer, ma décision la plus importante : me faire une place à mon image, voir les offres d’emploi dans leur globalité et pas seulement dans les missions, ou le standing de l’organisation, et parler de l’importance de l’environnement pendant les entretiens.
As-tu des projets personnels ou professionnels que tu souhaites nous partager ?
À l’heure actuelle, pas de nouveau projet en vue. J’aime beaucoup l’environnement de l’enseignement supérieur et de la recherche que j’ai intégré l’année dernière, je vais donc en poursuivre la découverte.
Article rédigé par Mélanie Carpentier, Relations Publiques et Presse, Ville de Tournefeuille.